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Énergie verte et santé publique : l’ambitieux projet de Hadjar Benaïche à Relizane

Hajar Benaïche est spécialiste en microbiologie et contrôle qualité. Diplômée de l’université de Relizane, elle dirige une recherche dans le cadre de la politique d’encouragement et de soutien aux entreprises émergentes, visant à exploiter les algues marines comme source d’énergie renouvelable et respectueuse de l’environnement.

Le projet, qui combine innovation dans le domaine des technologies énergétiques vertes et souci de santé publique, se concentre en particulier sur la spiruline – un type d’algue caractérisé par sa haute valeur nutritionnelle, car elle contient un pourcentage élevé de protéines et de vitamines.  Cette algue, transformable en complément nutritionnel, est une solution efficace à plusieurs problèmes de santé comme l’anémie, grâce à sa richesse en fer 100% absorbable.

Ce qui est intéressant, c’est que le projet est suivi de près par la direction de la pêche et de l’aquaculture de la wilaya de Relizane, ce qui promet d’améliorer l’image de marque de la wilaya et de renforcer sa position dans ce secteur. Hajar s’efforce de renforcer la coopération avec la même direction afin d’approfondir les travaux de recherche en obtenant les licences nécessaires pour démarrer le projet.

Le projet se présente comme un modèle d’innovation en matière d’utilisation des ressources naturelles locales sans avoir besoin d’importations, ce qui souligne l’importance d’investir et d’encourager de telles initiatives qui sont non seulement bénéfiques dans le domaine de l’énergie verte, mais contribuent également au renforcement de l’économie à travers l’exploitation des ressources locales, le tout pour bien-être de la population.

N. Ouadah

2 thoughts on “Énergie verte et santé publique : l’ambitieux projet de Hadjar Benaïche à Relizane”
  1. Des scienrifiques de ce rype sont à 3ncourager absolument.
    Ils sont benefiques à tous pounts de vue et sont une benediction pour la pays
    Bravo Hadjar. Allah iwaf9ekk.
    Merci aussi pour le journal Le Chelif et tous ses collaboteurs pour l’intérêt qu’ils portent à ce gebre d’initiatices

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